Comment faire d’un jardin résidentiel un jardin naturel ?
Le jardin de 550 m² est celui d’une résidence située à Saint Audin du Cormier. Il présente plusieurs problématiques auxquelles le jardin naturel peut répondre : une entrée trop minérale, une pompe à eau manuelle esseulée à l’ombre de la maison, une extension de la maison voisine en limite de propriété, une écrasante façade en mitoyenneté et un potager exposé aux regards des voisins.
Conçu fin mars 2020 et réalisé en janvier 2021, ce jardin a besoin de quelques années pour s’épanouir avant de faire l’objet d’un reportage photo. Merci pour votre patience.
L’ESQUISSE DU PROJET
Dans l’entrée fermée par un portail bois, l’esplanade est bordée de fleurs.
Au potager, clôt par une barrière de jardin fleuri, des alignements de petits fruits viennent compléter les carrés de légumes et d’aromatiques et des fruitiers font office de brise vue.
La fontaine manuelle est mise en valeur par un massif de plantes d’ombre ; un bucher vient s’adosser à la maison et le tout est relié par des pas japonais.
Une scénette végétale et colorée, alternant des plantes hautes et des treilles de couleur ou en bois vient atténuer l’impact de l’extension voisine.
Au pied de la façade voisine située plein sud, un décor composé de barrières en bois et d’un banc sous une arche de jardin haute et profonde, vient habiller le mur.
La palette végétale
Dans l’entrée, des fleurs comestibles côté potager et des roses et compagnie côté jardin.
A l’ombre de la maison, un massif de plantes d’ombre au pied d’un érable japonais.
Au pied de la future extension, de hautes graminées.
Au pied de la façade voisine, une généreuse composition d’hortensias grimpants et arbustifs.
Au potager, des fruitiers en espaliers.
Les fleurs, c’est la vie ! Alors, pensez à fleurir votre jardin, il vous dira merci.
